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Valréas 12 juin 1944 - 53 fusillés
L'association créée le 20 novembre 1971 sous la présidence d'Henri Guillard, pour donner suite à la dissolution du Comité du Monument aux Morts créé le 19 décembre 1946, présidée par le docteur Émile Quet, n'a pas failli pendant des années à son engagement à s'interposer, à proposer et à s'indigner s'il le fallait pour défendre les valeurs de ce Mur où 53 personnes ont trouvé affreusement la mort. Ce blog a pour objet de perdurer les événements de la tragédie du 12 juin 1944 à Valréas Vaucluse, où 53 personnes dont 27 résistants et 26 otages ont été fusillés. Mis en ligne par l'association cantonale des familles de fusillés, déportés, internés, résistants, patriotes et amis (AFFDIRPA) affiliée à l'association nationale des familles de fusillés (ANFFMRFA) - Tous les articles peuvent être "copié/collé", sans oublier de mettre la source. Merci
Rétro... SOUS LE SIGNE DU SOUVENIR
Livre du 12 juin 1944 - 53 fusillés à Valréas (Vse)
Depuis sa première édition en 1981, se livre a été imprimé à plus de 3.000 exemplaires. Une deuxième édition a eu lieu dans les année 1990, puis une troisième pour le 50ème anniversaire de la fusillade 1944-1994, suivie d'une quatrième édition augmentée pour le 52ème anniversaire 1944-1996 pour finir par la 5ème édition augmentée pour le 57ème anniversaire 1944-2001.
33 ans après ce livre est toujours d'actualité au vu des diverses atrocités que l'on peut constater dans ce monde soit disant humain.
La Fondation pour la Mémoire de la Déportation
La Fondation pour la Mémoire de la Déportation, est la plus ancienne des Fondations de mémoire issue de la Seconde guerre mondiale. Elle s’est voulue, dès sa création, en 1990, comme le souhaitaient ses fondateurs, représentative des différents courants historiques de la déportation et donc porteuse de plusieurs mémoires. La composition de son Conseil d’administration traduit cette volonté puisqu’il est constitué de déportés dits de répression (résistants, otages, communistes, syndicalistes, militaires etc.) et de déportés dits de persécution, (parce que juifs selon les critères établis par le régime de l’Etat français de Vichy et les nazis).
De plus le dosage équilibré des sensibilités politiques de ses administrateurs favorise l’expression des différents courants de pensée qui ont animé la résistance et l’opposition au nazisme et à l’Etat français de Vichy, puis alimenté la mémoire de l’après guerre.
Elle demeure attachée à l’évocation équilibrée et différenciée des deux grands courants de déportation, envoyant dans des « usines de mise à mort » des êtres humains parce que nés juifs ou tsiganes, et dans les camps de concentration des « ennemis du Reich allemand nazi » ( résistants, communistes, socialistes, chrétiens, témoins de Jéhovah, « asociaux » etc.), pour les briser et en faire des serviteurs zélés du nazisme , ou pour s’en débarrasser, non sans exploiter jusqu’au bout leur force de travail.
Fondation pour la mémoire de la déportation: La Fondation
La Fondation pour la Mémoire de la Déportation, est la plus ancienne des Fondations de mémoire issue de la Seconde guerre mondiale. Elle s'est voulue, dès sa création, en 1990, comme le souhai...
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